Vers la fin de la dernière guerre, mis à la porte par son propriétaire alors qu’il est en villégiature sur Büyük Ada, le narrateur se voit contraint de passer l’hiver et l’été suivants sur la petite île turque, en garni auprès d’une Grecque aborigène. Dans un style mordant et réaliste, il dépeint l’envers du décor de cette élégante station balnéaire, les moeurs de sa population laborieuse, la vie de tous les jours, du côté des acteurs et des coulisses.
Poète, érudit, polyglotte, antiquaire, homme d’affaires et écrivain prolifique, Gilbert D’Andria (1901-1970) a laissé derrière lui des malles de textes manuscrits d’une écriture malheureusement souvent difficile à déchiffrer, qu’il refusa de publier de son vivant. Après un recueil représentatif de ses poèmes, Rêves de Veille, paru en 2009, son fils édite aujourd’hui L’île aux cent jours, roman publié sous forme de feuilleton dans lescolonnes du
Journal d’Orient entre 1962 et 1963 sous le pseudonyme de Germain Arland. Il y a joint des contes, le petit plaisir » de son père, et espère faire découvrir au lecteur par cet ouvrage le talent incontestable de conteur de cet écrivain peintre coloriste et scrutateur d’âmes, que ses contemporains ont comparè à Guy de Maupassant et Panay Istrati.
Vers la fin de la dernière guerre, mis à la porte par son propriétaire alors qu’il est en villégiature sur Büyük Ada, le narrateur se voit contraint de passer l’hiver et l’été suivants sur la petite île turque, en garni auprès d’une Grecque aborigène. Dans un style mordant et réaliste, il dépeint l’envers du décor de cette élégante station balnéaire, les moeurs de sa population laborieuse, la vie de tous les jours, du côté des acteurs et des coulisses.
Poète, érudit, polyglotte, antiquaire, homme d’affaires et écrivain prolifique, Gilbert D’Andria (1901-1970) a laissé derrière lui des malles de textes manuscrits d’une écriture malheureusement souvent difficile à déchiffrer, qu’il refusa de publier de son vivant. Après un recueil représentatif de ses poèmes, Rêves de Veille, paru en 2009, son fils édite aujourd’hui L’île aux cent jours, roman publié sous forme de feuilleton dans lescolonnes du
Journal d’Orient entre 1962 et 1963 sous le pseudonyme de Germain Arland. Il y a joint des contes, le petit plaisir » de son père, et espère faire découvrir au lecteur par cet ouvrage le talent incontestable de conteur de cet écrivain peintre coloriste et scrutateur d’âmes, que ses contemporains ont comparè à Guy de Maupassant et Panay Istrati.
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